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- mairie@mairiedechateauneuf.fr
- Lundi - Jeudi : 8h30 - 12h30
- Vendredi: 8h30 - 12h30 | 13h - 17h30
Le départ des sentiers se trouve au mur du barrage du Couzon situé sur la D30, route reliant Rive-de-Gier à Sainte-Croix-en-Jarez.
• Longueur : 11,5 km
• Durée : 3h15
• Alt. mini : 353 m
• Alt. maxi : 657 m
Au barrage traverser la D30 et passer devant l’ancienne habitation du garde du barrage. Poursuivre le chemin en s’enfonçant dans un bois de chênes appelé « Bois de la Rente ».
Traverser la combe de Chamerle puis en montant, longer des terrains arides où poussent des bruyères et des genêts purgatifs. Sur le plateau, quelques pâturages et le hameau du « Ballet » Ensuite, une petite partie de route jusqu’à « Couzelon », prendre à droite le chemin plat et admirer la superbe vue sur la vallée du Gier.
S’élever ensuite en direction de la Croix de Crème puis Marlin et enfin arriver sur les roches de Marlin. La vue sur ce site est magnifique, au nord, les monts du Lyonnais, derrière au sud, les collines du Pilat, au-dessous la vallée du Gier, sur la gauche St-Etienne et sur la droite Lyon.
Après la « Pierre du diable » (voir légende), une descente abrupte, presque Sauvage vous conduit sur les hauteurs du barrage. Une fois la ferme isolée de la Rente passée, prendre à gauche par le bois de chêne pour redescendre jusqu’au barrage.
LES ROCHES DE MARLIN
Le mystère des roches de Marlin. Qui les a déposées ici?
A quelle époque? Pour quoi faire? De cet amas de mégalithes, le plus étonnant est une longue pierre en forme de menhir posée sur un affleurement rocheux à cinquante mètres à gauche du chemin. cette pierre est plus communément appelée « Pierre du diable » ou « Pierre qui chante ». La légende dit que le diable, au retour d’une quelconque vilainerie dans le Dauphiné, aurait rapporté sur son dos le lourd fardeau. Et, fatigué, l’aurait déposé, puis abandonné. On parle aussi d’un dragon qui aurait eu (et a peut-être toujours) ses habitudes dans le pays. D’autres disent que lors de l’équinoxe d’automne, des moines pénitents monteraient en procession depuis Ste Croix jusqu’à une pierre qui chanterait uniquement ce jour là. A vous de vérifier, mois quoi qu’il en soit on ne peut pas rester insensible en voyant les cupules creusées sur le rocher qui auraient servi à certaines cérémonies païennes et auraient pu contenir certains liquides: de l’eau, peut être du sang !
• Longueur : 3 km
• Durée : 1h
• Alt. mini : 300 m
• Alt. maxi : 653 m
Traverser le mur de retenue du barrage et prendre à droite après le déversoir. Le parcours commence par un chemin à fleur de rocher puis serpente au milieu d’une lande de bruyères.
Sur ce sentier, quelques panneaux indiquent des espèces d’arbres de pays.
Descendre vers la rivière et admirer l’aqueduc en brique. Lorsque vous passerez l’aqueduc vous continuerez sur un chemin plat et creux (vous êtes en fait sur l’aqueduc).
S’enfoncer encore un peu plus dans la vallée et lorsque vous aurez traversé la rivière vous arriverez dans les gorges du Couzon.
Puis remonter au niveau de l’aqueduc que vous longerez jusqu’au barrage. Profitez-en pour admirer ces magnifiques murs de pierres sèches qui composent une canalisation où pouvait circuler l’eau.
Puis vous arriverez enfin au pied du mur du barrage où vous pourrez apercevoir la plaque posée lors de l’inauguration.
• Longueur : 10 km
• Durée : 3h
• Alt. mini : 353 m
• Alt. maxi : 454 m
Traverser le mur de retenue du barrage et prendre à gauche après le déversoir. Suivre le chemin de halage jusqu’au second barrage (qui fût inauguré en 1329), longer le « petit barrage » et prendre à droite pour monter sur le chemin de Seyoux.
Traverser ce hameau par la droite et suivre la route que vous quitterez à gauche pour emprunter la piste forestière passant par Montvin et les Brosses. A remarquer une plantation de résineux avec notamment des pins noirs. Arrivé à Granay, prendre avant Richardon et redescendre vers le Sorbier et la rive gauche du Couzon avec ses gorges et l’aqueduc en briques (à noter que seul l’habillage est en brique, la structure étant en pierres sèches). Ensuite traverser des landes de bruyères parsemées de genêts purgatifs puis arrivée au barrage.
LA CREATION DU BARRAGE DE COUZON
La construction est due à la famille Zaccarie. En effet, les Zaccarie, père et fils, vont tenter de remédier au problème du transport du charbon des mines de Rive-de-Gier au Rhône, ce transport se faisant jusqu’alors à dos de mulet. Leur œuvre, le canal de Givors (dont on trouve encore des traces à Rive-de-Gier et le long de l’autoroute entre Rive-de-Gier et Givors) connaîtra bien des déboires et ne représentera qu’une infime partie du projet initial qui consistait à réunir le Rhône et la Loire. Le barrage de Rive-de-Gier (qui se trouve d’ailleurs sur les communes de Châteauneuf et Sainte-Croix-en-Jarez) fut donc créé pour remédier aux sécheresses du Gier et ainsi assurer la navigation tout au long de l’année. Il fut construit d’après un projet de 1787 et fut inauguré le 23 septembre 1814 par le comte d’Artois. Sa construction est très particulière : 3 murailles parallèles sont reliées entre elles par des contreforts et Forment la digue protégée de la poussée des eaux par un talus en terre.
C’est en 1880, lors de la faillite de la famille Zaccarie, que le barrage fut transformé en réserve d’eau potable pour les habitants de Rive-de-Gier.
Les itinéraires de randonnée dans le Parc du Pilat sont en ligne.
Territoire reconnu pour la randonnée, avec plus de 3 000 km de sentiers balisés, le massif du Pilat vient d’entrer dans l’ère du numérique ! Pour faciliter l’accès aux itinéraires de randonnée balisés, le Parc du Pilat a répertorié l’ensemble de ces circuits dans un nouvel outil numérique gratuit : www.pilat-rando.fr
Trouver un itinéraire
Via le net, tous les amoureux du Pilat et de la randonnée ont désormais un accès direct aux boucles, circuits et grands itinéraires proposés sur le massif. Le site offre la possibilité de choisir le type de circuit recherché (pédestre, équestre, VTT ou cyclo), sa préférence géographique ou le niveau de difficulté recherché. Une fois l’itinéraire choisi, l’utilisateur dispose de toutes les informations pratiques : dénivelé, niveau de difficulté, durée de parcours, ainsi que du descriptif technique de cette randonnée
Emporter les informations utiles sur les sentiers
Il suffit ensuite d’imprimer la fiche synthétique avec la carte avant de partir sur les chemins. Ce sera un bon complément au balisage judicieusement égrené le long du parcours.
Les randonneurs connectés peuvent aussi importer la trace GPS sur leur téléphone ou leur montre pour s’engager en toute sérénité sur les sentiers du Pilat.
La randonnée dans le Pilat en quelques chiffres :
• 3 GR – sentiers de Grande Randonnée – les GR 7, 42 et 65 représentant 120 km dans le Pilat.9 sentiers du Parc traversant le Parc de part en part sur 562 km d’itinéraires.
• Une centaine de sentiers en boucle créés par les 40 communes engagées auprès du Parc – parcours de 1h à la journée, pour un total de 1 000 km d’itinéraires.
• 31 circuits VTT pour près de 600 km de sentiers.
• Un réseau complet d’itinéraires équestres sur plus de 420 km maillant le Pilat
• Des itinéraires cyclo, dont les 6 montées de cols équipés de bornes kilométriques spécifiquement destinées aux grimpeurs.